Recouvrement de créances en Belgique
- Recouvrement de créances en Belgique, effectué localement.
- Sans risque. Vous ne payez que si nous réussissons.
- 9,5 % de commission.
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Services de recouvrement de créances en Belgique
Votre entreprise a du mal à recouvrer ses créances en Belgique parce que vos clients en Belgique ne sont pas disposés à payer la dette ? Notre agence professionnelle de recouvrement de créances en Belgique est toujours là pour vous aider. Le paiement immédiat de vos factures est notre travail. Si vous avez l’intention d’engager une société de recouvrement de créances en Belgique, lisez les services que nous offrons.
Trois étapes pour être payé pour votre facture belge.
Téléchargez votre facture belge impayée.
Notre agence de recouvrement belge lance la procédure de recouvrement directement en Belgique.
L’argent vous est transféré directement.
Pourquoi vous devriez utiliser Oddcoll pour le recouvrement de créances en Belgique
Notre partenaire belge de recouvrement de créances dispose d’une autorité légale qui influe sur la volonté de payer du débiteur.
Notre recouvrement de créances en Belgique est effectué localement sur place.
“No win no fee”. Vous ne payez que si nous réussissons.
Experts en législation belge sur le recouvrement de créances.
Nous vous permettons de vous faire payer facilement par vos clients belges.
Oddcoll est une plateforme avec des agences de recouvrement de créances et des cabinets d’avocats triés sur le volet dans le monde entier. Nous facilitons le recouvrement de créances en Belgique grâce à notre expertise locale et à notre approche sans risque.
Il suffit de nous envoyer votre créance belge impayée pour commencer. Le prix est fixé à un total de 9,5 en commission pour le montant recouvré. Si aucune somme n’est recouvrée, vous ne payez rien.
Notre expérience avec de nombreuses sociétés de recouvrement de créances en Belgique indique que VP Consulting BVBA est la meilleure de toutes. Cette agence a le taux de recouvrement le plus élevé et d’excellents retours de la part de ses clients. Puisque tous nos dossiers de recouvrement en Belgique sont désormais gérés par VP Consulting BVBA, nous vous assurons que vous faites appel à la meilleure société de recouvrement belge pour maximiser vos chances de paiement.
Notre agence de recouvrement de créances en Belgique.
La législation belge et les règles propres à la Belgique régissent l’ensemble du processus de recouvrement de créances.
Par conséquent, vous devez faire appel à une agence de recouvrement belge pour obtenir le paiement de votre débiteur.
Lorsque vous téléchargez votre facture sur Oddcoll, notre partenaire local (une agence de recouvrement belge expérimentée) commence à recouvrer votre créance.
Notre partenaire belge est l’agence de recouvrement VP Consulting.
Avec environ 500 clients et 2.000 cas par mois pour 1.500.000 euros. Et un taux de réussite de 90 %.
Pouvez-vous décrire brièvement votre entreprise ?
VP Consulting est une petite agence de recouvrement de créances belge sur mesure qui recouvre les créances des consommateurs et des entreprises pour tous les types de services et d’industries. Nous sommes fiers d’être membres de l’Association Belge des Recouvreurs. Nous suivons donc leur code de conduite. Pour devenir membre, une agence de recouvrement de créances doit :
– Être constituée en société, soumise à l’obligation légale de publier ses comptes annuels et d’être enregistrée dans la Banque centrale des entreprises. Elle doit disposer d’un numéro d’identification d’entreprise et être inscrite auprès du Service public fédéral de l’économie en tant qu’organisme de recouvrement de créances.
– Avoir exercé des activités de recouvrement de créances pendant au moins 3 ans.
Quels défis rencontrez-vous en matière de recouvrement de créances en Belgique ?
La loi belge stipule que les créances B2C (consommateurs) bénéficient d’un traitement spécial. Nous devons attendre 15 jours avant d’entamer une nouvelle action. Ainsi, si nous envoyons un rappel au débiteur et que nous n’avons aucun résultat, nous devons attendre au moins 15 jours avant d’entamer une action en justice. Pour les entreprises (B2B), nous ne sommes pas tenus d’attendre 15 jours. Il n’y a donc aucune obligation d’appliquer un délai minimum.
Si vous engagez une action en justice dans une affaire et que vous gagnez au tribunal, les frais d’action en justice que le client a payés peuvent-ils être ajoutés à la dette ?
Lorsque nous entamons une action en justice en Belgique, nous analysons toujours le dossier chez l’huissier. Si la solvabilité du débiteur n’est pas bonne, nous suggérons généralement de résoudre l’affaire “à l’amiable”. Ceci afin d’éviter des frais de justice élevés.
Le recouvrement de créances “judiciaire” en Belgique.
Quel tribunal traite les affaires de recouvrement de créances en Belgique ?
Le pays est légalement divisé en différentes zones (divisions, districts, etc.). Chaque tribunal ne peut statuer sur les affaires que dans une certaine zone. C’est ce qu’on appelle la compétence territoriale.
La liberté donnée au demandeur de choisir le tribunal de son choix est le principe fondamental du système juridique belge – l’article 624 (I) du Code judiciaire garantit cette disposition. La plupart du temps, les affaires sont portées devant le juge du tribunal de grande instance où l’un des défendeurs a son adresse enregistrée (woonplaats/domicile).
Mais qu’en est-il si le défendeur est une société ? L’adresse sera alors celle du siège social (hoofdzetel/siège).
Pour déposer une affaire devant une juridiction spécifique, le particulier doit l’enregistrer au greffe de cette juridiction ou au bureau d’accueil. La possibilité de déposer une affaire par courriel ou par fax n’est actuellement pas disponible.
Quelle est la langue la plus appropriée pour ma requête ?
En ce qui concerne le choix de la langue dans un tribunal, on peut se référer à la loi du 15 juin 1935 relative au choix de la langue juridique dans les tribunaux (wet van 15 juni 1935 betreffende de taalkeuze in gerechtelijke zaken) (imprimée le 22 juin 1935 dans le Moniteur belge). C’est dans cette loi que se trouve le sens de l’usage de la langue dans les tribunaux civils et commerciaux belges.
En principe, c’est la région dans laquelle le tribunal est situé qui décide de la langue. L’article 42 de la loi précitée mentionne trois régions linguistiques : la région allemande, la région française et la région néerlandaise. Une vaste région bilingue de Bruxelles (néerlandais/français) est également présente pour le dépôt des affaires judiciaires. Et les localités suivantes y sont incluses : Auderghem, Anderlecht, Bruxelles, Berchem-Sainte-Agathe, Evere, Etterbeek, Ganshoren, Forest, Jette, Koekelberg, Ixelles, Molenbeek-Saint-Jean, Saint-Josse-ten-Noode, Schaerbeek, Saint-Gilles, Uccle, Woluwé-Saint-Pierre, Watermael-Boitsfort et Woluwé-Saint-Lambert.
Toutefois, dans des circonstances particulières, une affaire peut être introduite devant un tribunal dans une autre langue. Avant de commencer la procédure d’une affaire, le changement de langue peut également être demandé, mais uniquement dans des conditions particulières.
Faut-il payer des frais de justice pour les affaires de recouvrement de créances devant le tribunal belge ?
Certains frais doivent être payés aux tribunaux pour le recouvrement légal de dettes en Belgique.
Lors du dépôt de la demande, la personne doit payer une taxe mentionnée à l’article 4, paragraphe 2, de la loi du 19 mars 2017, qui est versée au fonds budgétaire juridique pour les cas particuliers (Wet van 19 maart 2017 tot oprichting van een begrotingsfonds als juridische ereloon in de tweede graad), soit 20 € au moment de la rédaction du présent document.
Au fur et à mesure que l’affaire avance, les deux parties paient certains frais liés à l’affaire, qui dépendent du processus défini par le juge (frais de déplacement, frais d’enquête, honoraires versés aux experts, etc.)
Lorsque l’affaire arrive à son terme, le juge ordonne à la partie vaincue, ou en son absence, au déposant, de payer les frais, et ce montant est différent pour chaque affaire.
L’utilisation d’une “injonction de payer” en Belgique pour recouvrer une dette.
L’injonction de payer est une procédure juridique simplifiée pour le recouvrement de créances belges qui n’ont pas été contestées. Un ordre exécutif pour la procédure de paiement est présent en Belgique (procédure sommaire d’injonction de payer, d.w.z. overzicht van acties om betaling te vragen). Cette procédure est élaborée dans les sections 1338 à 1344 du livre judiciaire et son objectif principal est de récupérer des paiements dans des cas spécifiques.
- Seules les créances monétaires sont applicables.
- L’article 1338 du Code judiciaire indique que seules les demandes de recouvrement de dettes ne dépassant pas 1860 € sont autorisées.
- Le choix des ordres exécutifs pour le processus de paiement est facultatif.
Le juge de paix peut autoriser l’utilisation de cette procédure (juge de paix / rechter voor vrede), uniquement si l’affaire relève de la compétence du tribunal. Pour les cas mentionnés à l’article 1338 du Code judiciaire, la procédure susmentionnée peut également être utilisée pour toutes les affaires qui relèvent de la compétence du juge commercial (handelsrechtbank / handelsrechter) ou du juge de police (tribunal de politique / politierechter).
Avant de porter l’affaire devant le tribunal, le créancier doit demander formellement le paiement au débiteur (sommatie van de betaler / betalingswaarschuwing). Cette démarche est obligatoire en vertu de l’article 1339 du code judiciaire. La demande de paiement peut être envoyée au débiteur par l’intermédiaire d’un officier ministériel (huissier de justice / juridisch medewerker) ou par courrier recommandé, accompagnée d’un accusé de réception. Le même article précise également que les détails pour le paiement de la dette doivent également être vérifiés légalement, comme indiqué :
Après l’expiration du délai de 15 jours de la demande, l’affaire est enregistrée au tribunal par une requête accompagnée d’une copie de la demande. L’article 1340 du Code judiciaire mentionne que la requête doit comporter :
Des informations complètes doivent être présentes dans la requête. Le sous-paragraphe 3 du paragraphe 1 de l’article 1340 du Code judiciaire exige que le demandeur mentionne les mesures prises jusqu’à l’introduction de l’affaire. Les détails concernant le montant du paiement, avec les éléments pertinents qui font partie de la demande, ainsi que la base juridique de la demande doivent être spécifiés dans la demande.
L’article 1338 stipule que la demande légale doit être soutenue par un document formel publié par le débiteur. Toutefois, il n’est pas nécessaire que ce document contienne une reconnaissance de paiement.
Si le débiteur conteste :
Le débiteur peut contester l'”injonction de payer” de deux manières : en faisant appel devant le tribunal judiciaire supérieur ou en soulevant une objection juridique devant le même juge qui a rendu l'”injonction de payer” (puisque l’ordonnance du juge est tout comme une décision finale dans sa structure) Dans les deux cas, la date d’expiration n’est pas plus d’un mois à compter de la date de publication de l’ordonnance (lire le Code judiciaire, articles 1051 et 1048). Cette date peut être prolongée si l’une des deux parties n’a pas de domicile élu ou d’adresse (geselecteerde woonplaats) en Belgique.
Toutes les règles générales sont applicables en matière d’appel et d’opposition, à l’exception d’un cas, qui est mentionné dans la deuxième partie de l’article 1343, paragraphe 3, du Code judiciaire : en évitant l’article 1047 (qui exige l’engagement d’un huissier), une opposition peut être soulevée en déposant une demande au greffe du tribunal, avec autant de copies de la demande que d’avocats et de parties, qui est ensuite transmise par le greffier au créancier et à son équipe juridique via une lettre spéciale émise par le tribunal.
Si la partie défenderesse s’y oppose, les deux parties sont convoquées par le tribunal à une audience.
L’exécution d’une décision de justice en Belgique :
Si le débiteur ne se conforme pas à la décision de justice, le créancier peut demander aux tribunaux une exécution forcée. Pour ce faire, il faut un titre exécutoire (article 1386 du Code judiciaire), car il s’agit d’une intrusion dans le domaine privé du débiteur. Ce titre juridique peut être une décision de justice. L’huissier de justice met en œuvre l’exécution forcée.
Si vous cherchez un service de recouvrement de créances en Belgique, Oddcoll peut vous aider de manière rapide, facile et efficace. Remplissez le formulaire à droite et nous vous contacterons dans les 24 heures.
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ODDCOLL
Oddcoll est un service de recouvrement des créances internationales. Nous nous assurons que les entreprises soient payées par leurs clients étrangers.
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